RêVolition : être heureux peut changer le monde

modo Date d'inscription : 04/05/2005 Nombre de messages : 24346

EN voilà une idée rigolote RêVolition : être heureux peut changer le monde Danseuse

http://revolition.org/

Citation :: Le site RêVolition repose sur l'idée selon laquelle un groupe de personnes qui émet de "bonnes vibrations" a une influence positive mesurable sur l'ensemble de l'Humanité.
Le but du site RêVolition est donc de réunir par le biais d'internet, et de manière anonyme, toutes les personnes qui acceptent d'être heureuses "au moins 5 minutes par jour", afin de constituer un collectif, un "générateur de bonnes ondes" naturel. (...)

Le néologisme "RêVolition" est constitué de deux mots accolés : le Rêve et la Volition.

"Volition" : n.f. du latin volo, je veux. Philos. : acte par lequel la volonté se détermine à quelque chose ; la volonté elle-même.

volonté : n.f. expression énergique et déterminée de l'intention d'une personne ; ce que veut quelqu'un ou un groupe ; intention, désirs formels manifestés.

"Rêve" : n.m. production psychique ; représentation, plus ou moins chimérique, de ce qu'on veut réaliser, de ce qu'on désire ; ce qui présente des qualités telles qu'on a peine à le croire réel. Un rêve d'enfant à réaliser.

rêvé : adj. qui convient tout à fait ; idéal.

"RÊVOLITION" : 1a. prise de conscience, décision d'agir pour le collectif ; changer ou faire évoluer une idée, en soi et pour les autres. 1b. le passage à un degré supérieur d'évolution ou de culture. 2. acte par lequel la volonté tend vers son idéal ; phénomène par lequel la représentation subtile d'un idéal se réalise ; processus spirituel permettant la matérialisation de la conscience supérieure d'un individu ou d'un groupe d'individus. 3. Hist. : période du début du XXIe siècle durant laquelle les sociétés humaines se transformèrent radicalement afin de sauvegarder l'espèce humaine et son écosystème.

rêVolitionnaire : personne qui a pris conscience de la nécessité de l'union de toutes les bonnes volontés afin de créer un réseau d'Intention susceptible d'influencer positivement la destinée du plus grand nombre.
(...)

Si notre conscience individuelle est responsable de notre vie, la somme des consciences humaines forme une sorte de super-Conscience collective, la "volonté" profonde de notre planète, responsable de tout ce qui se passe à sa surface. En tant que fragment de cette Conscience collective, nous sommes tous responsables de l'état de la Terre et des évènements qui s'y déroulent.

Il faut prendre la responsabilité de votre vie. En acceptant cette charge, ce pouvoir, en changeant d'avis sur l'importance que vous tenez dans l'équilibre de notre planète, vous changerez de vie... Et comme chaque grain de sable qui s'épure transforme la plage, ce changement personnel de conscience, de votre "volonté" profonde, peut transformer le monde !

C'est d'abord cela, la RêVolition : un changement individuel de conscience .
Ensuite commence la création d'une masse critique d'Intention, l'union des "bonnes volontés", la goutte d'eau qui fera déborder le vase, pour atteindre un changement de Conscience globale, un acte de "re-volonté" profonde. Une RêVolition planétaire !

"Lorsque nous sommes seuls à rêver, cela ne demeure qu'un rêve.
Lorsque nous rêvons ensemble, ce n'est plus seulement un rêve, c'est le début de la réalité"(...)

COMMENT AGIR ? (...)
Soyez heureux et cela changera le monde !

Niveau 1 : chaque jour, pensez à vivre au moins 5 minutes au bonheur : moments sympas, blagues entre amis, câlins amoureux, etc. Amusez-vous, prenez plaisir, souhaitez le meilleur à ceux qui vous entourent (à tous : sans jugement !). Méditez, priez ou riez, faites du bien autour de vous ou soyez attentif à simplement passer un bon moment pour vous... tout en sachant intérieurement (Intention) que, même si vous n'en êtes pas conscient, le bonheur que vous vivrez rayonnera tout autour de vous et se répandra sur la planète pour le bien de tous ! C'est votre Intention, le "désir que ce soit ainsi", qui véhiculera automatiquement votre bonheur. Il vous faut simplement penser, vous, à profiter de vos 5 minutes de bonheur quotidien - et c'est déjà une grande tâche !

Et comme vos "5 minutes de bonheur" ne tomberont pas en même temps que les "5 minutes de bonheur" des autres rêVolitionnaires, vous savez qu'il y aura pratiquement en permanence un groupe de personnes en train d'envoyer de "bonnes pensées" pour l'Humanité. Avec le décalage horaire, et un nombre important de rêVolitionnaires tout autour de la planète, nous atteindrons rapidement un rayonnement continuel de "bonne pensées", 24 heures sur 24.

Niveau 2 : consacrez 1 heure de votre journée au bonheur : à être de bonne humeur, à rire, être sympa avec les autres, etc. de manière à rayonner le plus de bonnes pensées possible. Un adulte devrait éclater de rire en moyenne 15 fois par jour, alors qu’un enfant rit plus de 100 fois dans une journée. En fait, nous rions 20 fois moins qu’il y a un siècle... Il n'est plus besoin d'expliquer que le rire est bon pour la santé, le fait est parfaitement connu (et les râleurs ont trois fois plus de risques de mourir d’un infarctus que les autres !). Alors : haut les coeurs ! Vivez joyeusement ! :-)

Décidez qu'une pleine heure de chacune de vos journées sera consacrée à rire, au plaisir, au bonheur, au moment de votre repas du midi ou du soir, à la pause, peu importe (fixez-vous une heure : votre heure de bonheur !) tout en sachant - comme au niveau 1 - que, même si vous n'en êtes pas conscient, l'énergie positive que vous rayonnerez à ce moment-là participera à influencer positivement l'Humanité. Plus on sera de fous, plus il y aura de rires !

Niveau 3 : faites en sorte de remplir de bonheur toutes vos journées, soit au moins 8 heures de temps - ce qui vous laisse de quoi dormir et gérer encore les soucis ordinaires ("comme tout le monde" !). Ce niveau est pour les plus avancés, certains de pouvoir tenir leur engagement, car il ne s'agit pas de s'engager pour quelques jours seulement. C'est une décision d'esprit, un pacte avec vous-même, dont vous êtes le seul témoin, le seul acteur et le seul gardien.(...)

astuce : passer chaque jour sur LPM RêVolition : être heureux peut changer le monde Vertg_gi

(oui enfin, p'têt pas tous les jours...)
(mais souvent quand même)

Citation :: astuce : passer chaque jour sur LPM
(oui enfin, p'têt pas tous les jours...)
(mais souvent quand même)

RêVolition : être heureux peut changer le monde 233803

oui meme plusieurs fois par jour comme ça vous depasserez largement les 5 minutes.... parce qu'il n'est pas dit qu'on a le droit qu'a 5 minutes de bonheur par jour donc
bonheur à volonté !!

Ca me semble très intéressant... à méditer.
C'est vrai qu'on a de moins en moins de raisons de se réjouir, à l'heure actuelle.
On rit de moins en moins...
Et pourtant, ça fait tellement de bien.

Rire libère des endorphines .
Ce qui a pour effet de diminuer la douleur, calmer les angoisses et le stress, favoriser le plaisir et même donner un sentiment d'euphorie.
De quoi rayonner le bonheur autour de soi ventsolaire

J'adore

RêVolition : être heureux peut changer le monde Coeur

et je vois la vie comme cela .......et l'on me dit que je vis dans un monde de " bisounours "..........

"Soyez heureux et cela changera le monde " je le répète souvent .........rions ,rions les petites fées et dansons RêVolition : être heureux peut changer le monde Danseuse

Très intéressant comme concept. Il s'accorde bien avec les théories quantiques.
Petite question: je n'ai pas vu le lien vers le site dans le premier post du sujet. Est-ce une étourderie de ma part? RêVolition : être heureux peut changer le monde Blanc

RêVolition : être heureux peut changer le monde Blanc

le lien est tout en haut

Citation :: EN voilà une idée rigolote http://revolition.org/

RêVolition : être heureux peut changer le monde 402276

OK, merci. RêVolition : être heureux peut changer le monde Oups

Je change tout de suite de lunettes RêVolition : être heureux peut changer le monde 1408495124

Pis les geeks se bougent les ~~fesses~~ doigts :ordi

"24/09/2012 - Mais que font les geeks quand ils rencontrent les innovateurs sociaux et les porteurs de projets responsables ? Réponse : ils réfléchissent au potentiel de changement social rendu possible par les technologies numériques ! Et la Social Good Week, qui débarque dès demain en France, a justement pour ambition de montrer à quel point le web change le monde."

source : http://alternatives.blog.lemonde.fr/2012/09/24/comment-utiliser-le-web-pour-changer-le-monde-social-good-week/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

ça me plaît cette idée, J'aime RêVolition : être heureux peut changer le monde Yaisse_g

le net peut effectivement être un très bel outil RêVolition : être heureux peut changer le monde Yaisse_g

modo Date d'inscription : 04/05/2005 Nombre de messages : 24346

Citation :: (...)le web facilite l’initiative individuelle en offrant une participation sans "coût d'accès" démesuré : "il réinvente la notion de proximité thématique ou géographique, donne une dimension significative et une efficacité sociale à des pratiques vieilles comme le monde (le troc, l'échange sous diverses formes, la solidarité, la rencontre...), facilite et et valorise des pratiques de coopération et de collaboration laissées de côté par une vision encore très pyramidale des rapports sociaux, facilite la réplication et la sérendipité".(...)

C'est un peu nous tout ça RêVolition : être heureux peut changer le monde 650269930

Vouiiii !!! svava

Tout à fait Les Petites Magies

On est sur la bonne voie!! svava

matali a écrit:

Citation :: (...)le web facilite l’initiative individuelle en offrant une participation sans "coût d'accès" démesuré : "il réinvente la notion de proximité thématique ou géographique, donne une dimension significative et une efficacité sociale à des pratiques vieilles comme le monde (le troc, l'échange sous diverses formes, la solidarité, la rencontre...), facilite et et valorise des pratiques de coopération et de collaboration laissées de côté par une vision encore très pyramidale des rapports sociaux, facilite la réplication et la sérendipité".(...)

C'est un peu nous tout ça RêVolition : être heureux peut changer le monde 650269930

En voilà qui ont mis ça en pratique. Lu ici http://lesbrindherbes.org, un endroit où j'aime bien musarder

"L’âge de faire a pu rencontrer Zumra Nuru à l’occasion de sa venue en France. Cet Ethiopien de 67 ans a créé, dans les années 70, sur des règles de partage et de respect, une communauté dont la réussite semble incontestable.

Lorsque Zumra Nuru explique sa façon de voir le monde, on est d’abord marqué par la déconcertante simplicité de son discours. Mais si ses réponses sonnent souvent comme des évidences, ses idées n’ont pourtant rien de futile : elles lui ont permis de fonder, en 1972, la communauté Awra Amba. Quarante-quatre ans plus tard, celle-ci regroupe près de cinq cents personnes qui y vivent « en harmonie », en étant mieux éduquées, mieux nourries, et en bénéficiant de meilleures conditions de vie qu’autrefois.

A 67 ans, Zumra Nuru est sorti pour la première fois d’Ethiopie au début du mois d’avril pour passer dix jours en France. C’est Robert Joumard, universitaire et membre d’Attac, qui a organisé ce séjour, parce qu’il considère qu’Awra Amba est l’un des rares exemples au monde de « socialisme utopique ».
Le fondateur et leader de la communauté a ainsi pu nous parler de son parcours hors du commun.Sa réflexion a débuté très tôt – dès l’âge de 4 ans, selon lui – en observant la condition féminine dans la société traditionnelle éthiopienne :
Je voyais ma mère qui, comme mon père, travaillait au champ. Mais quand ce travail était fini, lui se reposait, alors qu’elle devait encore faire à manger, le ménage et s’occuper des enfants. Ce n’était pas normal.Zumra Nuru

Son analyse est alors loin d’être partagée par les hommes de sa région, qui le rejettent, lui et ses idées. Cette hostilité, néanmoins, n’affaiblit pas la force de ses convictions, ni son désir de faire évoluer les mentalités.
Tout le monde aime sa mère, mais les hommes traitaient leurs femmes comme s’ils en étaient propriétaires. Je leur expliquais donc qu’ils devaient aimer toutes les femmes comme leur propre mère.Zumra Nuru

Son rêve d’harmonie l’entraîne vers d’autres réflexions, comme celui des religions. Dans cette région, musulmans et orthodoxes éthiopiens vivent, au mieux, chacun dans leur coin, quand cette cohabitation ne vire pas à l’affrontement. Pour Zumra Nuru, « il n’y a qu’un Créateur. On est d’accord là-dessus, alors à quoi ça sert de lui donner un nom ? Ça ne peut que diviser les hommes. Personne ne sait s’il y a un paradis après la mort, donc notre rôle est de créer le paradis ici, sur terre, en vivant en paix. »Lorsqu’il n’est encore qu’un enfant, il se jure de changer les choses une fois qu’il sera adulte. Comment ? En se lançant dans la politique ? Non. « La question ne s’est même pas posée. J’étais tellement jeune, et puis, j’étais fermier, je ne savais ni lire ni écrire. » A même pas 20 ans, il se met donc en quête d’un village qui accepterait ses idées. Il s’établit finalement à Awra Amba, dans la région d’Amhara, au Nord Ouest du pays. Zumra Nuru et une soixantaine de compagnons y appliquent les règles qu’ils ont élaborées : pas de religion, pas de mariages forcés ni d’excision, une solidarité entre tous les habitants qui s’applique « de chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins »… Le système doit réunir les conditions du paradis terrestre vers lequel ils tendent.Mais ces préceptes sont loin de faire l’unanimité : les traditionalistes rejettent la communauté et finissent par en chasser les membres. Poussés à l’exil, Zumra Nuru et dix-huit compagnons, néanmoins, n’abandonnent pas leur rêve et se mettent à la recherche d’une nouvelle terre. Après un long périple, ils reviennent, six ans plus tard, à Awra Amba où, grâce à la pression des médias et des ONG, ils obtiennent une vingtaine d’hectares pour s’établir. C’est ainsi que renaît la communauté au milieu des années 90. Aujourd’hui, après vingt années de fonctionnement continu, un constat s’impose : la petite société fonctionne.

Les habitants, qui cultivent essentiellement le maïs, le tef et les haricots secs, obtiennent des rendements supérieurs au reste de la région. Ils élèvent des zébus, des poules, et quelques moutons. Compte tenu du peu de terre dont ils disposent, ils ont diversifié leur activité : femmes et hommes pratiquent le tissage – ailleurs, cette pratique est strictement réservée à la gent masculine. Ici, les hommes vont chercher l’eau au puits et peuvent s’occuper des enfants – des tâches traditionnellement réservées aux femmes. Et si l’harmonie règne toujours au sein de Awra Amba, elle commence aussi à s’étendre aux villages alentour : grâce à des rencontres organisées de façon régulière, et parce qu’ils ne peuvent que constater les bénéfices de ce mode de vie, les autres villages de la région n’affichent plus la même défiance à son égard. C’est l’une des fiertés de Zumra Nuru : « Avant, on me prenait pour un fou, mais, aujourd’hui, je vois que les regards ont changé. »Les jeunes issus de la communauté affichent pour leur part une surprenante réussite scolaire. Dans la région, les enfants, envoyés très tôt aux champs, doivent abandonner leurs études. Ce n’est pas le cas à Awra Amba, où filles et garçons ont trois devoirs : aller à l’école, aider un peu la communauté (« une façon de les responsabiliser », explique Zumra Nuru), et… jouer.

Gebeyehu Desaleu est de ces enfants qui ont grandi à Awra Amba. Après des études supérieures en économie, il pourrait aujourd’hui, nous explique-t-il, « travailler pour le gouvernement et gagner beaucoup d’argent ». Il a pourtant choisi de revenir vivre au sein de la communauté. « C’est une façon, pour les jeunes comme moi, de rendre à la communauté tout ce qu’elle nous a donné. Les anciens comme Zumra se sont sacrifiés pour que nous puissions avoir une vie meilleure. Maintenant, c’est à notre tour de faire évoluer la communauté. » Créée par dix-neuf fermiers illettrés, Awra Amba compte, vingt ans plus tard, quarante-huit diplômés universitaires."

ça donne envie d'y partir...