Les petites magies
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[Article] L' eau : comment en faire un médicament ?

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matali
modo
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[Article] L' eau : comment en faire un médicament ? Vide
MessageSujet: [Article] L' eau : comment en faire un médicament ? [Article] L' eau : comment en faire un médicament ? EmptyDim 14 Oct 2012 - 12:16

Ou alors, quelle eau est la meilleure pour nous et pourquoi ?
(tout le monde ne partage pas ces idées...)

http://alternativessante.santeportroyal.com/t/56681/4403/7167585/38967/1003/?l=4403-38967-8258-87e7019-3eb a écrit:
L'EAU : COMMENT EN FAIRE UN MÉDICAMENT ?

Savez-vous combien d’heures de cours sont consacrées à l’eau et à ses propriétés dans les facs de médecine ? Réponse : 0.

Aucun enseignement synthétique et rigoureux sur ce thème n’est délivré aux médecins et aux nutritionnistes afin qu’ils acquièrent un peu plus de respect pour cet élément vital de notre corps et donc qu’ils en informent leurs patients !

Pourtant, tous nos doctes professeurs de médecine savent que l’eau est le constituant le plus important du corps, environ 70% en volume et jusqu’à 99% en nombre de molécules !

C’est donc aux patients de s’informer pour savoir quelle eau ils doivent boire, surtout lorsqu’il sont atteints d’une pathologie chronique.

Vous trouverez donc ci-dessous les principaux critères de qualité qui font que votre eau vous convient ou pas, qui font qu’elle va être absorbée, assimilée par vos tissus et vos organes, et qu’elle va jouer son rôle de médiateur si important pour toutes les réactions biophysiques et biochimiques de vos cellules.

Premier conseil : boire plutôt acide

L’acidité de l’eau (pH inférieur à 7) ou bien son alcalinité (pH supérieur à 7,5) va agir sur vos sécrétions digestives et donc sur la flore microbienne qui peuple vos intestins.

L’eau que vous buvez arrive dans tous les cas dans l’estomac qui est très acide à pH 2 ! Si l’on boit acide, on va dans le sens de sécrétions stomacales acides, mais si l’on boit alcalin, on tempère cette acidité et on oblige le corps à un effort sécrétoire plus important. Il va alors se produire un déséquilibre entre les sécrétions de l’estomac et les sécrétions du pancréas et des intestins, avec perturbation de la flore du côlon qui reçoit ces sucs digestifs ; une eau alcaline (ou basique) favorisera alors la flore de putréfaction qui vit bien avec un pH 7 et supérieur, au détriment de la flore de fermentation qui elle, est favorisée par une eau à pH 6 et inférieur !

Or la flore de fermentation (bifidum, colibacilles) est justement celle qui répare les muqueuses de l’intestin, celle qui produit des vitamines (K, B), celle qui module notre réponse immunitaire vis-à-vis des aliments !

La règle est donc de boire plutôt acide (entre 6,5 et 7), toutefois sans excès d’acidité (pH<6) et en tout cas de ne pas boire longtemps trop basique (pH supérieur à 7,5), ou bien sinon sous la forme d’une cure ponctuelle de 8 à 10 jours pas plus.

Boire chaud… même en été

Il faut boire le plus souvent chaud : le matin au lever de manière abondante, après le jeune prolongé de la nuit, mais aussi dans la journée, entre et pendant les repas, l’eau chaude réchauffe et aide à la digestion. Terminer un repas par un verre ou une tisane à base d’eau chaude, est le meilleur stimulant pour la digestion.

Vous pouvez vous permettre de boire frais pour le plaisir de temps à autre, mais même en été, si vous avez très chaud car la température extérieure est supérieure à 37°C, sachez que c’est une eau chaude qui va vous rafraichir ; ceux qui dans les pays en permanence très chauds n’observent pas cette règle finissent par souffrir de troubles inflammatoires (colite, asthme, eczéma) !

L’eau étant fade par nature, vous pouvez l’agrémenter de plantes fraiches ou en poudres, mais le principe est de boire chaud, sans que cela soit brûlant.

Privilégier une haute la teneur en bicarbonates

Les bicarbonates sont importants pour le corps, car ils sont les piliers du système tampon du sang, qui doit absolument rester à la valeur constante de pH de 7,35. Dès que des résidus acides issus d’aliments dits acidifiants (par ex viandes, charcuteries, laitages, sucres rapides), sont présents dans le sang en quantité excessive (acide phosphorique, acide sulfurique, etc ...), le corps mobilise ses bicarbonates pour les neutraliser.

Or ces bicarbonates sont stockés dans l’os, associés au calcium et au magnésium. Leur déstockage provoque donc un certain degré de déminéralisation ; pour prévenir cette conséquence, il est important de consommer des aliments comme les fruits et les légumes, riches en particulier en bicarbonates et en minéraux de type calcium, magnésium, potassium ou sodium.

Les bicarbonates de l’eau neutralisent aussi l’acide lactique du muscle, dont le rein doit se charger, d’où l’intérêt bien réel des eaux riches en bicarbonates, comme l’eau de Quézac, de Perrier et surtout l’eau de Vichy, très anti-résidus acides.

Notons au passage que si le rapport bicarbonates sur phosphates et sulfates est fort cela suffit parfois. Ainsi, l’eau d’Evian a une teneur modérée en bicarbonates mais elle n'a pas de sulfates et un pH autour de 7,2, elle est donc bonne à boire à long terme. Par contre des eaux très riches en sulfates et relativement plus faibles en bicarbonates, sont en fait plutôt acidifiantes et donc lourdes à digérer.

De l’eau réduite… c’est quoi ?

Pour désinfecter l'eau des bactéries qui sont présentes, parfois en trop grandes quantités, dans les réseaux on utilise du chlore (eau d’adduction), de l’ozone (piscines), du péroxyde d’hydrogène... Cela donne une eau "oxydée".

L'eau n'est pas infectée, mais boire une eau oxydée à long terme, c’est ... s’oxyder soi-même, donc vieillir quelque peu à chaque verre absorbé.

Il vaut donc mieux donc boire une eau réduite qu’une eau oxydée, ce qui se mesure par une échelle dénommée le rH2, dont les valeurs vont de 0 (très réduit) à 48 (très oxydé).

Un biologiste me confiait un jour que l’eau de Montréal est tellement traitée au chlore que son rH2 monte à près de 40 ! Plus raisonnablement, une eau à 30 est déjà oxydée, l’idéal se situant entre 23 et 25 et la moyenne à 28 ; un jus de légumes frais a un rH2 de 18 donc il est très réducteur, ce qui signifie anti-oxydant.

Après filtration ou osmose, le rH2 d’une eau de ville descend à 25, ce qui est très acceptable. De même, juste après captage, une eau de source a un rH2 bas de 23-24, mais il remonte avec le temps de stockage, surtout si celui-ci s’effectue dans de mauvaises conditions, en bouteille plastique !

Il existe des appareils qui permettent d'obtenir une eau à rH2 très faible (une équipe allemande a réussi à produire une eau à rH2 0) ! Mais boire souvent une eau à rH2 0 est aussi excessif, car le corps s’habitue à cette dose énorme d’électrons, et va donc désamorcer ses propres défenses contre les radicaux libres oxydants. Ces eaux artificielles sont donc des eaux de cure de 15 jours à 3 semaines tout au plus ; elles sont très anti-oxydantes, trop même, et un tel rH2 n’existe nulle part dans la nature. Il faut les conseiller à raison de quelques verres par jour, par ex le soir entre 16 et 22 h, 2 semaines par mois ou tous les 2 mois. A cette posologie là, on peut profiter de leurs propriétés anti-oxydantes, sans risquer d’y habituer le corps.

Pour une eau bue tous les jours, un rH2 de 22 à 25 est idéal, et pour cela, il faut au moins éliminer par filtration ou osmose les molécules oxydantes résiduelles présentes (chlore et chloramines) dans les eaux d’adduction.

La teneur en minéraux

Il existe des eaux de source, très peu minéralisées comme :

Mont-Roucous (30 mg/L) ,
Montcalm (50 mg/L),
Celtic (50 mg/L)
Volvic (110 mg/L).
Puis il y a des eaux à minéralité moyenne, comme :

Evian (320 mg/L),
Vittel (750 mg/L).
Et enfin il y a des eaux franchement salées ou hyper-minérales

Hepar (1600 mg/L),
Contrex (2300 mg/L)
Vichy (4300 mg/L).
Les eaux à minéralité globale élevée sont à déconseiller aux personnes qui veulent nettoyer leur sang et leur tissu conjonctif (intoxication, obésité, surpoids), car ces eaux sont trop salées, ce qui favorise plutôt la rétention d’eau et moins le drainage des tissus.

Les minéraux présents dans l’eau sous la forme minérale sont de plus peu ou mal assimilés par le corps. Cela dépend en fait surtout de la flore intestinale, capable d’utiliser ou pas ces minéraux bruts qu’elle reçoit ; s’ils sont trop nombreux, ils vont concentrer le sang sans pouvoir être stockés et vont donc empêcher un bon drainage du corps.

Les eaux osmosées entrent à l’inverse dans la catégorie des eaux très peu salées (entre 20 et 50 mg/L) et sont donc des eaux de drainage, comme les eaux de source, à proposer aux personnes en surpoids.

Pour les personnes maigres ou bien convalescentes, il faut au contraire corriger ce relatif manque de sels minéraux, par le passage d’une eau osmosée sur un lit de coraux ou bien d’algues lithothamnes, ou encore il faut l’adjuver de solutions d’oligo-éléments, comme le plasma de quinton ...

Buvez selon votre soif… mais pensez-y !

Quelle est la quantité idéale d’eau à boire ? Beaucoup d’auteurs parlent d’une quantité optimale de 30 ml par kilo de poids et par jour, ce qui fait tout de même quelques 2,1 litres par jour pour une personne de 70 kg !

En réalité, il apparaît qu'il faut boire selon sa soif d’une part, tout en essayant ... de ne pas oublier de boire !

Boire beaucoup est bon pour les personnes de corpulence médiane et surtout pour les personnes maigres, qui sont vite déshydratées, alors que les personnes en surpoids n’on pas besoin de boire en rapport en fonction de leur poids, disposant d’un volant d’eau interne suffisant ; donc 30 ml/kg/j est une indication valable pour les personnes de poids normal ou plutôt réduit. Pour les autres en surpoids, il faut boire, mais pas trop : 30 ml/kg et par jour doit se calculer alors sur le poids idéal minimum et non pas réel.

De l’eau en plus grande quantité, surtout pour un corps maigre et/ou vieillissant, ce sont des reins qui fonctionnent mieux, c’est une peau plus douce, la réduction de la constipation et des problèmes urinaires, une meilleure irrigation cérébrale et une micro-circulation facilitée (œil, articulations).

Quand boire ?

Mis à part la quantité globale, le "quand" est aussi un point important à considérer ?

L’idéal est de boire, ainsi que le recommande l’ayurvéda, abondamment le matin au lever, soit par ex, 2 tasses d’eau ou de tisanes chaudes : une eau chaude, car le métabolisme du matin est encore ralenti et qu’il sera ainsi activé.

Ensuite, il faut boire entre les repas selon sa soif et son activité physique, les sportifs et les travailleurs de force ne devant pas oublier de prendre un peu de sel (ou du plasma de quinton hypertonique) après avoir beaucoup transpiré.

Il est recommandé aussi de boire une demie-heure avant chaque repas, de façon à pouvoir ensuite exporter le minimum de liquides nécessaires à la digestion !

Pendant les repas eux-mêmes, il est conseillé de boire peu, mais chaud et de terminer un repas encore par une prise d’eau chaude, de façon à lancer idéalement la digestion.

La sensation de soif et le bon sens doivent donc dicter le rythme des prises de boissons, eau ou tisanes, durant la journée.

Effacer la mémoire de l'eau souillée

L’eau n’est pas qu’un tas de molécules de H2O sans organisation ; il s’agit en fait d’un réseau, d’un véritable cristal liquide, en perpétuel remaniement, à un rythme très élevé de 1012 fois par seconde !

Ce réseau très fin est porteur d’informations ; lorsque l’eau a supporté des toxiques, des métaux lourds ou des médicaments, toutes ces informations restent dans le réseau des molécules d’eau entre elles, même si les polluants ont disparu. Seule l’osmose à nouveau arrive à formater ce fin réseau , à la fois en éliminant des molécules chimiques très petites comme les nitrates, mais aussi elle parvient à effacer l’empreinte de grosses et petites molécules même absentes ! La finesse des pores d’une membrane d’osmose permet cela, car leur taille de 0,1 nm est voisine de celle de la molécule d’eau elle-même.

En perlant au travers de la membrane sous la poussée de la pression osmotique, l’eau est filtrée molécule par molécule et perd ainsi sa mémoire du passé.

Si le stockage de l’eau osmosée se fait en dehors du plastique et en dehors d’un champ électro- magnétique trop proche, alors l’eau vierge et pure est prête à être consommée.

Le summum : rendre à l'eau sa mémoire naturelle

Si vous avez suivi tous les conseils ci-dessus vous disposerez d'une eau de bonne qualité qui vous fera du bien.

Mais si vous voulez aller encore plus loin, vous pouvez lui redonner une empreinte ou une mémoire naturelle, analogue à celle qui était présente à sa source. Des poudres de roches et d’éléments du sol ou encore les micro-ornagismes EM permettent ainsi de ré-informer une eau pure osmosée ; le réseau des molécules d’eau retrouve ainsi sa structure des origines, telle qu’il fut à sa source.

Il est également possible de dynamiser cette eau. Le passage par un vortexeur est le moyen privilégié pour obtenir une eau dynamisée : le vortexeur comme son nom l’indique, imprime à l’eau un mouvement tourbillonnaire, tel qu’il existe dans toutes les rivières du monde depuis la nuit des temps !

Au sein du vortex, la pression de gravitation diminue et donc le champ magnétique augmente, ce qui rend l’eau naturellement magnétisée et restructurée physiquement.

A ce stade, elle est prête à être absorbée tout simplement, capable d’apporter son énergie et son contenu en ions, à celui ou à celle qui la consomme.

L’eau pure : presque introuvable aujourd’hui

Ne croyez ni les spécialistes de la distribution d'eau, ni les marchands d'eau en bouteille, l'eau pure est quasiment introuvable.

Il est admis que l’eau d’adduction des villes est souvent polluée par des résidus de médicaments (hormones, produits de contraste utilisés en radiologie, antibiotiques, antidépresseurs, etc ...), des résidus de pesticides et d’engrais (nitrates, phosphates, atrazine, etc ...), des résidus industriels (phtalates, etc ...) qui sont la rançon d’une société qui abuse depuis un demi-siècle de la chimie dans les traitements médicamenteux, dans l’industrie et en agriculture !

Quant à l'eau de source présentée en bouteille plastique, on y retrouve des résidus, certes moins nombreux, mais liés au PET qui rend le plastique à la fois souple et résistant : l’antimoine, les phtalates ont été montrés du doigt ...

La seule solution est de filtrer et même d’osmoser l’eau distribuée au robinet : c’est une opération rentable, précise et qui permet d’obtenir une eau pure, même vis-à-vis des éventuels polluants dont on ne connaitrait pas encore la présence dans l’eau ?

Comment améliorer la qualité de son eau

Il existe différents appareils pour améliorer la qualité de l'eau. Les prix varient selon que l'on souhaite faire installer un osmoseur sur le robinet de la cuisine ou un système plus complexe directement sur les canalisation d'arrivée d'eau dans la maison.

Mais même pour les systèmes les plus chers, retenez que le coût d'une eau de qualité ainsi obtenue est environ 2 fois moins élevé que celui des eaux livrées en bouteille plastique, qui sont un non-sens économique (en moyenne entre 0,3 et 0,5 € par litre) et aussi écologique. Après 1 an, le prix de revient au litre d’une eau osmosée, reminéralisée et dynamisée, est 20 fois meilleur marché que celui d’une eau en bouteille

Les eaux filtrées ou osmosées sont donc le meilleur choix économique, même à court terme, dans le budget d’une famille.

Il serait trop long de détailler les avantages et modes de fonctionnement des appareils disponibles sur le marché. Pour en savoir plus, vous pouvez lire l'article de "Principes de Santé" en suivant ce lien ou bien celui paru sur le site quelle-sante.com.

En résumé : l’eau idéale à boire pour chacun


- Une eau pure, obtenue par osmose

- Une eau de pH situé entre 6,5 et 7,2, pas plus

- Une eau présentée chaude ou à température voisine de 37°C

- Une eau dont le taux des bicarbonates est supérieur à celui des sulfates et phosphates

- Une eau peu minéralisée pour les personnes en surpoids et un peu plus pour les personnes maigres

- Une eau de rH2 situé entre 22 et 25, donc après élimination au moins de tout oxydant

- Une eau abondante, autour de 30 ml/kg/jour, sous la forme d’eau pure, de soupes et bouillons, de tisanes ou de jus d’herbes, de façon à en privilégier le goût.

Le goût de l’eau, sa présentation chaude ou froide, pure ou bien en alternance sous forme de tisanes ou de jus, sont des critères de qualité fondamentaux pour assurer une bonne hydratation en quantité ; tout médecin et tout thérapeute devraient s’occuper de ce point important avec chacun de ses patients.

Prenez soin de vous.

Dominique Vialard avec le Dr Hervé Janececk
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